Git

Ce matin, un lapin, a voulu merger; C’était un lapin, qui jouait à git.

Je m’égare, je m’égare. Ce matin, un collègue chargé d’une revue de code a déclaré ne pas pouvoir vérifier le diff entre deux versions d’un fichier chiffré avec ansible-vault.

D’un côté, il a raison, ce n’est pas possible dans l’interface de gitlab. Pour se faire il faut nécéssairement avoir le mot-de-passe pour déchiffrer les versions avant et après modifications pour les comparer. De l’autre, localement, c’est tout à fait possible. Voici un petit script qui simplifie la vie dans ce cas de figure.

Ce matin un lapin, j’ai pris le temps de faire ce que je me promettais depuis des semaines: retirer mes alias bash au profit d’alias git en bonne et due forme.

J’en ai profité pour découvrir d’autres usages de la configuration de git via le fichier .gitconfig ou .git/config tels que les options automatiques lors du push. Mais, il y a un mais: il faut parfois retoucher la configuration à la main pour arriver au résultat désiré.

Au début, il suffisait d’un mot de passe, c’était simple : password. Puis, il a fallu le changer tous les six mois, qu’à cela ne tienne, password0, password1 et les suivants faisaient l’affaire. Mais après le mot de passe devait contenir au moins une majuscule, puis un chiffre, puis un ou plusieurs caractères spéciaux et sont apparus Password, Passw0rd et autres Pass/w0rd.

On le sait désormais, utiliser le même mot de passe pour des services différents et choisir des mots de passe faciles à mémoriser deviner sont de mauvaises pratiques. Mais trouver et se souvenir de trop nombreux mots de passe différents n’est pas aisé.

Et puis au fond, pourquoi s’embêter à les trouver? Autant les générer aléatoirement. Et tant qu’on y est, pourquoi s’embêter à les mémoriser? Un ordinateur fait ça tellement mieux que nous.

Que ce soit à titer personnel ou pour le travail, j’utilise gitlab. Sur la plupart des side-projects, j’œuvre seul mais le reste du temps, il est normal de passer par des merge requests afin de lancer les tests automatiques et permettre une revue de code en bonne et due forme. Seulement voilà: comme beaucoup, je n’aime pas le clicodrome.

Par chance, gitlab propose des options disponnible au push pour créer une merge request. Cet article présente un petit script qui m’est bien pratique au quotidien pour ne pas passer trop de temps sur ma souris.

Et ben, ça fait un bail que j’ai pas publié ici ! Plus d’un an, ça ne va pas du tout. J’ai redirigé mes efforts sur de petits talks et j’ai délaissé le blog. C’est mal !

Pour profiter de ce retour (durera-t-il ?), un tout petit article sur nvim, fugitive et quelques réglages qui vont bien. Je ne sais pas pourquoi il m’a fallu autant de temps pour corriger ces petites choses qui m’irritaient mais c’est fait et ma vie n’en est que plus douce.

Travailler avec git, c’est bien. Travailler avec des sous-modules, c’est bien aussi, mais ça peut devenir compliqué. Travailler avec des cascades de sous-modules, ça peut vite devenir l’enfer.

Lorsque l’on change de branche, que l’on ajoute ou supprime des sous-modules avant de revenir à une autre branche, git ne sait pas toujours quels fichiers conserver ou supprimer. Une solution est d’utiliser les git worktrees afin de séparer clairement les branches et les dossiers qui les contiennent.

Cet article présente la marche à suivre pour ne plus mélanger les branches et leurs sous-modules ainsi que l’intégration de cette fonctionnalité dans neovim.