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Il y a fort longtemps (non) dans une vie lointaine (non) j’ai rédigé un tutoriel pour mes collègues (oui) afin que tous sachent comment chiffrer des supports de stockages et que les données sensibles de l’entreprise ne se baladent plus à la merci d’une clé USB perdue.

Ce texte était au départ dans un wiki interne. Mais vu qu’il a été rédigé sur mon temps libre, je le récupère pour le mettre ici.

Il m’arrive très souvent au travail de faire de petites présentations. Que ce soit pour vendre une nouvelle idée ou fêter la fin d’un projet, les occasions ne manquent pas.

Cette fois-ci, c’est une présentation à destination d’un collègue particulier. Il travaille beaucoup en console comme moi mais ne prends pas le temps de configurer son environnement. Je lui avais promis ce document il y a fort longtemps et je me suis dit que ce serait dommage de ne pas le partager au reste du monde.

Enjoy

Travailler avec git, c’est bien. Travailler avec des sous-modules, c’est bien aussi, mais ça peut devenir compliqué. Travailler avec des cascades de sous-modules, ça peut vite devenir l’enfer.

Lorsque l’on change de branche, que l’on ajoute ou supprime des sous-modules avant de revenir à une autre branche, git ne sait pas toujours quels fichiers conserver ou supprimer. Une solution est d’utiliser les git worktrees afin de séparer clairement les branches et les dossiers qui les contiennent.

Cet article présente la marche à suivre pour ne plus mélanger les branches et leurs sous-modules ainsi que l’intégration de cette fonctionnalité dans neovim.

J’ai réinstallé une ROM Android neuve sur mon téléphone il y a quelques jours. Ce faisant, j’ai effacé intégralement les données enregistrées, incluant mon gestionnaire de mots de passe password-store (pass pour les intimes).

Cet article explique la marche à suivre pour récupérer mes informations chiffrées sur une machine fraîchement installée. Il fait suite à pass et repose aussi sur gpg-pgp.

Il m’arrive fréquemment de faire des présentations au reste de mon équipe ou même à l’entreprise si l’occasion se présente. C’est un exercice que certains vivent comme une corvée; Je vois cela comme une façon de conclure un projet: si je ne peux pas le présenter simplement, c’est que le travail n’est pas terminé.

Très différents de la documentation technique, les slides présentent une vision haut niveau des problèmes abordés et doivent être clairs, concis et agréables à l’œil. Un peu comme un changelog donne la vision haut niveau pour le grand public et les commits servent le détail aux développeurs spécialisés.

Avant (était-ce mieux?) je rédigeais ces documents en LaTeX avec Beamer. C’est verbeux, parfois tatillon mais le résultat est généralement de qualité pour ce qui est de la mise en forme finale.

Un collègue m’a introduit à RevealJS et surtout la possibilité de rédiger le contenu en Markdown qui est tout de même moins verbeux que LaTeX en conservant une grande partie de l’expressivité de ce dernier. Cet article n’est pas un tuto mais plus une liste des fonctionnalités que j’utilise généralement dans ces présentations.

Ce matin, un lapin, a voulu merger; C’était un lapin, qui jouait à git.

Je m’égare, je m’égare. Ce matin, un collègue chargé d’une revue de code a déclaré ne pas pouvoir vérifier le diff entre deux versions d’un fichier chiffré avec ansible-vault.

D’un côté, il a raison, ce n’est pas possible dans l’interface de gitlab. Pour se faire il faut nécéssairement avoir le mot-de-passe pour déchiffrer les versions avant et après modifications pour les comparer. De l’autre, localement, c’est tout à fait possible. Voici un petit script qui simplifie la vie dans ce cas de figure.